L’incontinence en chiffres : un enjeu de santé encore trop tabou


  • En France, près de 5 millions de personnes sont concernées par l’incontinence urinaire, soit environ 8 % de la population (source : CMA, mars 2024 – marché pharmacie).
  • Dans le monde, ce chiffre atteint 420 millions de personnes (Global Forum on Incontinence, 2018).
  • L’incontinence ne touche pas que les personnes âgées : elle concerne hommes et femmes, jeunes adultes, post-partum, personnes atteintes de pathologies chroniques, ou en situation de handicap.

Avec le vieillissement de la population, la problématique de l’incontinence devient de plus en plus visible :

  • D’ici 2040, une personne sur quatre aura plus de 65 ans en France (INSEE, 2020).
  • Le nombre de seniors dépendants à domicile est en constante augmentation.
  • De nombreux aidants familiaux ou professionnels se retrouvent démunis face à cette problématique quotidienne.

L’incontinence n’est pas qu’un simple « désagrément ». Elle peut engendrer :

  • Une altération de la qualité de vie,
  • Des troubles de la peau (irritations, macération, escarres),
  • Une souffrance psychologique, liée à la perte de contrôle ou à la honte,
  • Et un isolement social progressif.

D’où l’importance de solutions d’hygiène adaptées, douces et efficaces, comme celles proposées par Flor’Net, pour accompagner les personnes concernées avec respect et dignité.


Le silence autour de l’incontinence retarde la mise en place de solutions simples et efficaces : hygiène spécifique, produits de protection, rééducation périnéale, suivi médical…
Mieux informer, c’est mieux prévenir. C’est aussi permettre à chacun de vivre pleinement, sans honte ni gêne, malgré ce trouble.


Chez FLOR’NET, nous pensons que prendre soin de la peau, c’est aussi prendre soin de la personne dans sa globalité.
Nos produits sont conçus pour répondre aux besoins spécifiques des peaux exposées aux effets de l’incontinence : nettoyer sans agresser, préserver la barrière cutanée, et apaiser les irritations.


L’incontinence ne doit plus être un tabou. En en parlant, on améliore les prises en charge, on soulage des souffrances invisibles, et on redonne de la confiance à ceux qui en ont besoin.